Catherines Ribeiro + Alpes
33 Tours Paix
1972
15:40
Auteur : Catherine Ribeiro
Compositeur : Patrice Moulet
La grande Catherine et Patrice Moullet son compositeur attitré depuis des décennies. Ces deux là, je ne suis pas sûr qu'ils se soient même posés un jour la question de la durée des chansons, et pour Paix encore moins que pour les autres. Dans leur discographie, beaucoup sont des chansons fleuves. Quand Patrice lançait son cosmophone, Dieu seul sait quand il allait s'arrêter ! Cette chanson, elle sent bien plus que tout autre, l'odeur du combat post soixante-huitard, celui de l'underground made in France, mais aussi celui du talent d'une grande dame sans concession et d'un groupe qui permit comme très peu d'autres groupes français de rendre crédible un rock progressif de "chez nous". Les paroles écrites par Catherine sont porteuses de paix mais la voix forte, parfois violente de Catherine en font malgré tout un chant de combat. La chanson se termine par ces 2 vers : "Paix enfin à celui qui n'est plus et qui toute sa vie ,A trimé attendant des jours meilleurs ". En 1974, j'avais assisté au mariage d'amis qui l'avait choisi comme prière universelle. Fallait le faire ! Catherine a repris la chanson sur scène en 2007. Elle est logiquement devenue "Paix 2007".Le plus étonnant c'est que le rythme lancinant du cosmophone a laissé la place à un rythme Boogie avec orgue Hammond digne des année 70 lui aussi.
Paix à celui qui hurle parce qu’il voit clair
Paix à nos esprits malades, à nos cœurs éclatés
Paix à nos membres fatigués, déchirés
Paix à nos générations dégénérées
Paix aux grandes confusions de la misère
Paix à celui qui cherche en se frappant la tête
Contre des murs de béton
Paix au courroux de l’homme qui a faim
Paix à l'enfant qui vient de naître
Paix à la haine, à la rage des opprimés
Paix à celui qui travaille de ses mains
Paix à cette nature qui nous a toujours
Donné le meilleur d’elle-même
Et dont chaque homme, quel qu’il soit, a besoin
Paix à nos ventres, grands réservoirs de poubelles académiques
Paix à vous mes amis, dont la tendresse m’est une nécessité
Paix et respect de la vie de chacun
Paix à la fascination du feu, paix au lever du jour
A la tombée de la nuit
Paix à celui qui marche sur les routes
Jusqu’aux horizons sans fin
Paix au cheval de labour
Paix aux âmes mal-nées qui enfantent des cauchemars
Paix aux rivières, aux mers, aux océans qui accouchent
De poissons luisants de gas-oil
Paix à toi ma mère, dont le sourire douloureux
S’efface auprès de tes enfants
Paix enfin à celui qui n’est plus et qui toute sa vie
A trimé attendant des jours meilleurs
Paix, paix...
Paix à la haine, à la rage des opprimés
Paix à celui qui travaille de ses mains
Paix à cette nature qui nous a toujours
Donné le meilleur d’elle-même
Et dont chaque homme, quel qu’il soit, a besoin
Paix à nos ventres, grands réservoirs de poubelles académiques
Paix à vous mes amis, dont la tendresse m’est une nécessité
Paix et respect de la vie de chacun
Paix à la fascination du feu, paix au lever du jour
A la tombée de la nuit
Paix à celui qui marche sur les routes
Jusqu’aux horizons sans fin
Paix au cheval de labour
Paix aux âmes mal-nées qui enfantent des cauchemars
Paix aux rivières, aux mers, aux océans qui accouchent
De poissons luisants de gas-oil
Paix à toi ma mère, dont le sourire douloureux
S’efface auprès de tes enfants
Paix enfin à celui qui n’est plus et qui toute sa vie
A trimé attendant des jours meilleurs
Paix, paix...
Paix à celui qui hurle parce qu'il voit clair
Paix à nos esprits malades, à nos coeurs éclatés
Paix à nos membres fatigués, déchirés
Paix à nos générations dégénérées
Paix aux grandes confusions de la misère
Paix à celui qui cherche
En se frappant la tête contre des murs en béton
Paix au courroux de l'homme qui a faim
Paix à la haine, à la rage des opprimés
Paix à celui qui travaille de ses mains
Paix à cette nature
Qui nous a toujours donné le meilleur d'elle-même
Et dont chaque homme quel qu'il soit a besoin
Paix à nos ventres —
Grands réservoirs de poubelles académiques
Paix à vous mes amis, dont la tendresse m'est une nécessité
Paix et respect de la vie de chacun
Paix à la fascination du feu,
Paix au lever du jour à la tombée de la nuit
Paix à celui qui marche sur les routes
Jusqu'aux horizons sans fin
Paix au cheval de labour
Paix aux âmes mal-nées qui enfantent des cauchemars
Paix aux rivières, aux mers, aux océans
Qui accouchent de poissons luisants de gas-oil
Paix à toi ma mère,
Dont le sourire douloureux s'efface auprès de tes enfants
Paix enfin à celui qui n'est plus
Et qui toute sa vie a trimé attendant des jours meilleurs
https://lyricstranslate.comPaix à celui qui hurle parce qu'il voit clair
Paix à nos esprits malades, à nos coeurs éclatés
Paix à nos membres fatigués, déchirés
Paix à nos générations dégénérées
Paix aux grandes confusions de la misère
Paix à celui qui cherche
En se frappant la tête contre des murs en béton
Paix au courroux de l'homme qui a faim
Paix à la haine, à la rage des opprimés
Paix à celui qui travaille de ses mains
Paix à cette nature
Qui nous a toujours donné le meilleur d'elle-même
Et dont chaque homme quel qu'il soit a besoin
Paix à nos ventres —
Grands réservoirs de poubelles académiques
Paix à vous mes amis, dont la tendresse m'est une nécessité
Paix et respect de la vie de chacun
Paix à la fascination du feu,
Paix au lever du jour à la tombée de la nuit
Paix à celui qui marche sur les routes
Jusqu'aux horizons sans fin
Paix au cheval de labour
Paix aux âmes mal-nées qui enfantent des cauchemars
Paix aux rivières, aux mers, aux océans
Qui accouchent de poissons luisants de gas-oil
Paix à toi ma mère,
Dont le sourire douloureux s'efface auprès de tes enfants
Paix enfin à celui qui n'est plus
Et qui toute sa vie a trimé attendant des jours meilleurs
https://lyricstranslate.comPaix à celui qui hurle parce qu'il voit clair
Paix à nos esprits malades, à nos coeurs éclatés
Paix à nos membres fatigués, déchirés
Paix à nos générations dégénérées
Paix aux grandes confusions de la misère
Paix à celui qui cherche
En se frappant la tête contre des murs en béton
Paix au courroux de l'homme qui a faim
Paix à la haine, à la rage des opprimés
Paix à celui qui travaille de ses mains
Paix à cette nature
Qui nous a toujours donné le meilleur d'elle-même
Et dont chaque homme quel qu'il soit a besoin
Paix à nos ventres —
Grands réservoirs de poubelles académiques
Paix à vous mes amis, dont la tendresse m'est une nécessité
Paix et respect de la vie de chacun
Paix à la fascination du feu,
Paix au lever du jour à la tombée de la nuit
Paix à celui qui marche sur les routes
Jusqu'aux horizons sans fin
Paix au cheval de labour
Paix aux âmes mal-nées qui enfantent des cauchemars
Paix aux rivières, aux mers, aux océans
Qui accouchent de poissons luisants de gas-oil
Paix à toi ma mère,
Dont le sourire douloureux s'efface auprès de tes enfants
Paix enfin à celui qui n'est plus
Et qui toute sa vie a trimé attendant des jours meilleurs
https://lyricstranslate.comPaix à celui qui hurle parce qu'il voit clair
Paix à nos esprits malades, à nos coeurs éclatés
Paix à nos membres fatigués, déchirés
Paix à nos générations dégénérées
Paix aux grandes confusions de la misère
Paix à celui qui cherche
En se frappant la tête contre des murs en béton
Paix au courroux de l'homme qui a faim
Paix à la haine, à la rage des opprimés
Paix à celui qui travaille de ses mains
Paix à cette nature
Qui nous a toujours donné le meilleur d'elle-même
Et dont chaque homme quel qu'il soit a besoin
Paix à nos ventres —
Grands réservoirs de poubelles académiques
Paix à vous mes amis, dont la tendresse m'est une nécessité
Paix et respect de la vie de chacun
Paix à la fascination du feu,
Paix au lever du jour à la tombée de la nuit
Paix à celui qui marche sur les routes
Jusqu'aux horizons sans fin
Paix au cheval de labour
Paix aux âmes mal-nées qui enfantent des cauchemars
Paix aux rivières, aux mers, aux océans
Qui accouchent de poissons luisants de gas-oil
Paix à toi ma mère,
Dont le sourire douloureux s'efface auprès de tes enfants
Paix enfin à celui qui n'est plus
Et qui toute sa vie a trimé attendant des jours meilleurs
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